« Orrrh »! Affaire de faire foyer là, va trop loin, dêh !
Pourtant, tant que des hommes qu’on espère, ne se pointent pas dans nos vies, la situation ne peux pas changer, oh!
Et même quand ces hommes arrivent enfin, dans de nombreux cas, ils étudient enfants des gens jusqu’ààà…
Si quelques rares femmes ont « la chance », c’est finalement dans les procédures de retraite qu’on les emmènent devant le maire.
Sinon, c’est nettoyer maison, préparer « mangé » chauffer le lit et faire enfants en cascade qui entretient nos vies.
Avec notre affaire de trier garçons, entre le stress d’être seules, l’horloge biologique qui tourne à une vitesse grand V, les parents, le voisinage, la société, etc… qui jugent les femmes célibataires comme si elles faisaient toutes exprès d’être seules, il arrive malheureusement que la dépression prenne de la place, beaucoup de place.
Et c’est ce qui a fini par arriver le vendredi 27 Mai dernier à Afolake Abiola, une nigerianne de 47 ans.
Comptable dans une banque de Lagos, à en croire un membre se sa famille, elle aurait mis fin à ses jours en buvant un pesticide, parce qu’elle n’avait ni mari, ni enfant, ni « pointeurs », malgré sa beauté et son aisance financière.
Je comprends pourquoi certaines églises se sont lancées dans les trucs de défilé de mode de femmes célibataires là !Mariage aussi, c’est quelque chose, hein!
Est-ce qu’on va s’en sortir avec cette affaire de devenir Madame « tant » là ?!
Puisse l’âme de la défunte reposer en paix…
Jocelyne ozouah Souhainé