C’est en présence de Mme Carmen Koffi, représentante du ministre de la Culture et de la Francophonie, de Mme Kamara Maïmouna, représentante du résident de l’Unesco, Omar Diop en Côte d’Ivoire , que Kouassi Mauricette a procédé au lancement de la 4e édition du Concours Miss Ivoire Culture. L’apothéose de l’édition de cette année, se tiendra le 17 décembre prochain à l’Hôtel Belle Côte sis à à Cocody-Riviera Palmeraie. L’annonce a été faite le 22 novembre dernier 2022, au siège de l’Unesco à Abidjan. Ainsi donc le mandat de Kimou Mariette Julie, Miss Ivoire culture 2021 prendra fin au soir du 17 décembre prochain ou elle cédera sa couronne à l’une des 20 jeunes filles retenues lors des présélections dans les différentes régions de Côte d’Ivoire.
Selon Kouassi Mauricette, la promotrice de ce concours dont la spécificité est de valoriser le terroir et la culture ivoirienne, le thème de cette édition sera axé sur «Les grossesses précoces en milieu scolaire». «A l’heure où la prostitution gagne du terrain , au moment où les femmes commencent à perdre des valeurs familiales, le concours Miss Ivoire Culture se veut être le trait d’union entre la beauté d’une femme et sa capacité de prendre soin d’elle-même et de son foyer» a t-elle déclaré.
Avant d’ajouter« Il est important de rappeler à nos jeunes sœurs les valeurs traditionnelles et culturelles qui font de la Femme une pièce maitresse de la société. En effet la femme est la courroie de transmission par Elles doivent être l’excellence du savoir. Ce concours est un prétexte pour renouer avec notre identité culturelle et prôner le brassage des cultures qui est un facteur prépondérant pour une réconciliation vraie Car la culture c’est ce qui fait la société, ce qui nous rassemble».
Ainsi les candidates devront apporter au cours d cette édition une touche novatrice, en se démarquant les unes des autres par la maitrise parfaite des mets de leur terroir, de leur langue maternelle ainsi que les Us et coutumes. «La trame de fond de notre concours s’articule principalement autour la revalorisation de nos acquis culturels et la vulgarisation des connaissance traditionnelles issues de nos différents terroirs», a insisté Mauricette Kouassi.
JFK