« Si on ne fait pas ça, je ne sais pas comment on va faire pour tenir et vivre. Nos personnels au chômage ont faim, nos charges s’accumulent, on finira par être endettés… »
Voici un peu les raisons qui ont poussé le gros Bedel, figure emblématique des nuits Abidjanaises, à transformer son célèbre bar en restaurant.
Tout ça là, c’est à cause de coronavirus, hein ! « Djo », c’est toi qui a raison, dêh ! On dit « Quand l’avancée est dure, ce sont les durs seulement qui avancent ».
Si restaurant là aussi ne marche pas, pardon faut transformer ça en hôtel. Hôtel seulement là, « tchoko na tchaka » ça va marcher. Ivoirien avec son affaire d’hôtel ? « Hum »!
Jocelyne Ozouah Souhainé