Contrairement à ce que pensent de nombreuses personnes, le phénomène « Dubaï porta Potty » (traité dans des articles précédents) n’est pas seulement qu’une histoire de femmes!
Si aux premières heures de ce scandale qui défraie la chronique depuis une dizaine de jours, il n’y avait que des femmes indexées (stars de télé, influenceuses, reines de beauté, mannequins, etc …), la face hideuse de la perdition morale que représente ce fait est unisexe, un peu comme la « mode no gender »!
Garçons, oh! Filles, oh! Femmes, oh! Hommes, oh! Tout le monde « gèrent »!
C’est le cas du camerounais Nathan, qui dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, a témoigné de toutes les horreurs qu’il aurait subi à Dubaï, alors qu’il s’y était rendu pour faire du commerce.
Selon lui, une fois dans l’émirat le plus populaire des Émirats arabes unis, il dû faire face à une insuffisance extrême de fonds (visa expiré, business à l’eau, galère).
Sous proposition d’un ami, il accepte donc d’intégrer un réseau: Satisfaire des femmes matures à coups de jeux de reins et recevoir en contrepartie de l’argent.
Genre « Gigolo », quoi!
Seulement, au lieu de « gnanhis » qu’il devait « bombarder », Nathan va se retrouver parmi 04 chiens et 06 hommes.
Au programme, fellation distribuée aux 10 membres de la partie, puis le jeune homme qui comptait s’enrichir dans le commerce afin d’aider sa mère au Cameroun, est sodomisé par tous et victime de bien d’autres choses bien plus dégradantes.
« Ils m’ont tous pris à leurs tours pour commencer. Il avait 04 chiens et 06 messieurs. Ils m’ont obligé à chanter (…) j’avais commencé à saigner de partout. Je ne pouvais plus crier. De 23h à 12h du matin, j’ai passé une des plus horribles nuits de ma vie. » a t-il raconté.
Dans l’un des commentaires, Bruno. C, un autre jeune homme africain, a appuyé l’histoire de ce dernier en racontant comment en voulant devenir riche, il avait atterri dans un « gang » qui s’adonnait à bouffer la « merde » de milliardaires, avant d’effacer son message quelques minutes seulement après.
Hum!
Jocelyne ozouah Souhainé