Bonjour LCB. Artiste camerounais, j’ai connu une femme ivoirienne, vidéaste, qui est tombée amoureuse de moi en me trouvant des accointances avec Arafat DJ. J’ai cédé à ses racolages subtils, et nous nous sommes mis en couple, créant un intérêt de kongossa aussi bien chez les Ivoiriens que chez les Camerounais. J’avoue que nous trouvions cela amusant, et nous ne nous sommes pas privés de nous prêter au jeu en électrisant davantage les passions des affairés, à travers nos images complices postées sur la toile. Ils nous trouvaient beaux ensemble, voyant, à travers notre idylle apparente, une alliance entre Douala et Abidjan.
Idylle apparente parce qu’en fréquentant la vidéaste, j’ai dû découvrir progressivement sa véritable personnalité, qui n’est aucunement celle que recherche un homme : violence, barbarie, brutalité… Je ne peux pas compter le nombre de fois où pour une bisbille, elle a sorti ses crocs contre moi.
Au début je croyais que c’était une manière pour elle de mettre du piment à notre relation, comme le ferait une actrice. Mais non ! Il s’agissait de ses véritables vices intrinsèques !
J’ai été insulté par elle, frappé, menacé, en étant constamment victime de chantages. Je lui servais de la douceur, et en retour, elle me tenait le langage de l’épée. Ses fréquentations circulaires, notamment ses Ex, n’ont pas du tout bonne presse d’elle. Je me garde de révéler ici des choses tout en te dévoilant une anecdote. La semaine précédant le 20 décembre 2021, ma vidéaste est apparue soudainement sur le plateau de Peolp’Émik en y agressant physiquement la chroniqueuse Marie-Dominique, vraiment de façon farouche, au point de vouloir l’étrangler. C’était en présence d’invités. Les images n’ont jamais été diffusées. Qu’y a-t-il eu entre les deux femmes pour en arriver là ? En tout cas, rien ne devrait justifier cette violence à laquelle Marie-Dominique a été victime. Je peux te dire que les responsables de La3 en ont été interloqués, choqués !
Pour cette vidéo qui a fuité la soirée d’hier, ce n’est pas un buzz. Ma vidéaste m’aurait vraiment assommé avec la bouteille si je ne m’étais pas défendu. C’est de sa nature. Mon ami, auteur de la capsule, sait toutes les violences dont j’ai été l’objet, et il a toujours souhaité que j’en sois délivré. Merci pour ton temps de lecture très cher…
Louis-César BANCÉ
