DIEU ne trahit pas celui qui le craint !

Nestor David fait une révélation :

« Je dormais à l’église pendant deux (2) ans.

Quand je passais dans les églises pour chanter, on m’arrachait le micro car, pour eux, je ne chantais pas bien.
Comment suis-je passé de la misère, car pour moi, ce n’était pas la pauvreté mais la misère, à la richesse ?

Un jour, un homme de Dieu est venu chez nous à l’église, pendant un programme d’une semaine à l’église Pentecôte. Il a commencé un lundi, et le vendredi, c’était la veillée.
C’est ce soir-là qu’il a dit qu’il y avait des personnes ici qui étaient dans un lien de pauvreté dans leur famille, les empêchant d’atteindre un niveau de bénédiction et d’élévation. Je me suis senti interpellé.

Il nous a expliqué que, pour briser cette malédiction, il fallait poser un acte concret, bâtir un autel en offrant des sommes, dont 100 000 FCFA.
À ce moment-là, chantant dans le groupe musical, le Saint-Esprit m’a dit de me lever et d’aller prendre l’enveloppe, même si obtenir 1000 FCFA était compliqué pour moi.

Quand je suis revenu m’asseoir avec l’enveloppe, les gens ont commencé à rire (…)

On avait deux semaines pour faire notre offrande.
Après une semaine passée, je n’avais toujours pas les 100 000 FCFA, et voici la deuxième semaine.

À noter que je n’avais pas de téléphone à l’époque. C’est grâce au téléphone de quelqu’un dans le quartier où je vivais, dans une maison de 2500 FCFA, qu’on pouvait me joindre pour chanter dans les églises.
Un jour, contacté ainsi, j’ai été invité à chanter dans une veillée de prières.

Le jour de la veillée, en raison de mon accoutrement inhabituel, les gens ont commencé à réagir (…)

Quand le Bishop m’a annoncé comme son invité spécial, les gens m’ont regardé bizarrement. Il a dit à l’assemblée qu’il leur donnait quelques années pour que je marque cette nation et le monde entier.

Quand j’ai commencé à chanter, les gens ont commencé à tomber sous l’onction, à pleurer… Ils ont commencé à me bénir et à verser de l’argent sur moi.

Ce jour-là, quand je partais, je n’avais même pas 1000 FCFA sur moi, mais en revenant, je suis devenu millionnaire, jusqu’à aujourd’hui.

Mon histoire a changé radicalement. Là où je devais payer les 100 000 FCFA, j’ai payé 300 000 FCFA… Aujourd’hui, je suis dans l’immobilier. »