Le projet de réforme du permis de conduire, introduit depuis 2018 par M. Amadou Koné, Ministre des transports, fait de la politique inclusive, son sceau de base.
L’automatisation du processus d’évaluation des candidats au permis, à travers la digitalisation du système, est désormais possible dans plusieurs langues nationales (Bété, Baoulé et Malinké) en plus du français.
Une initiative qui devrait permettre à ceux qui ne savent ni lire ni écrire, mais qui manient aisément l’une de ces trois langues, de recevoir une formation pour une excellente maîtrise du code de la route.
Paaati ça va chauffer dans les auto-écoles, dêh !
Que pensez-vous de cette nouvelle mesure?
Jocelyne ozouah Souhainé