jusqu’au 30 Juin prochain, l’ancien président Laurent Gbagbo pourrait encore se retrouver devant les juges de la Cour Pénale Internationale (CPI).
« Laissé » en Mars 2021 par la CPI, après un long procès pour crimes contre l’humanité liés aux « gbangbans » des élections de 2010, le « Woody de Mama » qui est maintenant libre, veut partir encore à la Haye.

Mais cette fois-ci, il ne sera pas sur le banc des accusés, dêh !
Non!
L’ancien président du Front Populaire Ivoirien (FPI), désormais à la tête du PPA-CI (Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire) veut retourner là-bas pour autre chose: L’histoire.
Il veut que tout le monde puisse savoir ce qui s’est passé pendant qu’il était « prisonnier » aux Pays-bas là-bas.
Qui a fait quoi, comment, quand, etc…
En clair, il veut que l’ensemble des informations par rapport à son jugement soit bien classé et placé sur internet pour que ceux qui veulent connaître le déroulement de l’affaire puisse voir et savoir.
Et pour faire ça, il a besoin que la Cour pénale internationale accepte.

Bon, il faut dire aussi que La CPI avait déjà refusé depuis Le 13 avril 2022, la création de cette base de données à destination du public, parce qu’elle trouvait que les raisons de « Seplou » n’étaient pas solides, hein!
Mais, comme Laurent Gbagbo et ses avocats, ont toujours la possibilité de défendre cette idée avec de nouveaux arguments, jusqu’au 30 Juin 2022, si vous le voyez là-bas, ne soyez pas étonné, quoi!

Les historiens avec leur affaire d’histoire là, faut pas prison va sortir dedans, dêh !
« Opah », c’est pas mieux d’ecrire livre dessus?

Jocelyne ozouah Souhainé