Après avoir communiqué sur la situation des 49 soldats au Mali suite à son récent passage à Bamako, Pulcherie Gbalet, a suscité beaucoup de réactions.
« Les 49 militaires là, c’est pas nous qui les avons envoyé là bas. Ceux qui les ont envoyé là, ils se connaissent… Moi je suis partie au Mali, je sais ce que j’ai entendu. Je suis venue, on dit faut pas je vais parler de ça. Je demande pourquoi je ne dois pas parler de ça, on ne m’a pas encore donné de réponses… C’est une affaire de négociations, c’est pas une affaire de bras de fer. » Avait-elle affirmé dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux.
Indexée comme une « espionne » camouflée sous le sceau de Société civile par plusieurs internautes et menacée d’être « récupérée » par l’honorable Amaral Fofana (député du parti au pouvoir), pour avoir insulté le président ADO, la présidente de ACI (Alternative Citoyenne Ivoirienne), était revenue à la charge dans un droit de réponse où elle soutenait n’avoir jamais fait ce dont on l’accuse.
Mon cher, c’est dans ça on était, et puis un coup « bim », les événements se sont enchaînés, hein!
En moins de 24 heures,
Selon les informations reçues des ses proches, Pulcherie Gbalet qui s’était rendue à la préfecture de police pour récupérer son passeport aurait été retenue et soumise à une audition sans avocat.
Si elle a passé la nuit du 22 au 23 Août 2022 là-bas, ce mardi matin, son domicile a été fouillé par des hommes en armes sans mandat de perquisition.
Dans une note postée sur facebook, maître Serikpa, demandait que sa cliente soit relâchée dénonçant un vice de procédure.
Selon des sources proches du dossier, la présidente de ACI est accusée de troubles à l’ordre public.
Affaire de Pulcherie Gbalet et puis prison, là? On dirait c’est sa deuxième maison.
Hum!
Jocelyne ozouah Souhainé