Sidiki Diabaté a envoyé un message fort à ses jeunes frères et sœurs :
« Je suis fier de ce que je suis , parce que je viens d’une très grande famille de griots, de père en fils. Mon père est de la 71e génération et moi d d’la 72e génération, c’est très très important, de toujours représenter et que la relève continue.
Vous savez, quand j’étais petit, j’ai eu un accident à l’école avec mon doigts et logiquement pour jouer certains accords, nous sommes obligés d’avoir normalement ce doigts accidenté sur le clavier .
Quand j’étais à l’institut national des arts, on avait droit à deux instruments, un traditionnel et un instrument moderne. Moi je voulais faire un instrument moderne qui est le clavier sur un piano donc j’ai tout fait pour avoir des cours à l’école mais on m’a dit : » Avec cet accident, tu ne peux pas être un pianiste «
A la suite de cela, mon père m’a acheté un mainon casio et c’est comme cela que j’ai commencé à jouer au piano, et le jour où il m’a acheté piano, il m’a dit : » laisse tout le monde, concentre toi et compte sur DIEU«
Accrochez-vous à vos rêves, c’est très important et essayez de faire les choses positivement, ça ne serre a rien d’être négatif »