C’était en 2004. Il n’y avait que la musique qui comptait pour moi. Je cherchais producteur avec torche pour faire valoir mon talent de faiseur de reggae. Un moment, à la télévision, on entendait beaucoup parler de King Production, une maison de disque qui mettait énormément d’artistes en lumière. Artistes en herbe, on se demandait ce qu’il nous fallait faire…