Depuis le départ du Yôrô, le coupé décalé se noie dans un abîme. Il n’y a plus de DJ pour nous faire danser. On critiquait Arafat, disant de sa musique qu’elle encombrait nos oreilles avec ses bruits de casserole, mais le Daïshi aura eu quand même le mérite de remplir la mission majeure du coupé décalé qui est de nous faire mouler. Sheney et Debordo, fouettés dans leurs…