LA VENDEUSE DE MANGUES AUX BOBITANAS
18/05/2022
Quatre jours que le palu m’avait terrassé. Je n’avais plus l’appétit. Manger quelque chose m’apparaissait comme une corvée, une torture. J’habite seul. J’envoyais un petit du quartier pour m’acheter les petits plats de dehors. Mais toutes les nourritures qu’il m’envoyait pourrissaient à mes pieds sans que je ne les aies goûtées. Ma bouche…